
Il se fait étendre, revient à la musique, se remet à la guitare qu'il accorde en quinte comme son violon en se servant du médiator comme d'un archet et produit ainsi une musique aussi inédite que dévastatrice, le Diddley beat ... Ou l'on voit que tout est lié et que le Chicago blues vient d'enfanter le rock à guitare carré, comme quoi le monde du blues ne tourne pas si rond que cela !